CYCLOTOURISME	E. C. T. L.	LAMBALLE
ENTENTE CYCLO-TOURISTE LAMBALLAISE < 2012 >

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Entente Cyclotouriste Lamballaise Noël Roullier

PRESIDENTE DE L’ECTL
L E S I N F O S	Danielle LEBRETON prend la tête du peloton cyclo. Danielle Lebreton, la nouvelle présidente de l’Entente Cyclotouriste Lamballaise. L’Entente Cyclotouriste Lamballaise (ECTL) a une nouvelle équipe dirigeante. Danielle Lebreton a été élue à la tête de l’association. Elle prend la relève d’Henry Balaine. Eugène Lenoir devient, quant à lui, vice-président. Noël Roullier continuera d’assurer le secrétariat, secondé par Annick Passas et Christine Clément conserve les cordons de la bourse, avec l’aide de joseph Toublanc. Le reste du bureau est constitué de Loïc Heurtault, Gilbert Hingant, Bernard Hion, Denis Rault, Joël Ruellan et Pascal Breton. Novembre 2008
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ASSEMBL2E GENERALE 2008
L E S I N F O S	L’Entente Cyclotouriste Lamballaise change de tête. Henry Balaine, samedi, lors de l’Assemblée Générale du club au cinéma. « L’entente Cyclotouriste Lamballaise (ECTL) change de président. Henry Balaine a annoncé, samedi, lors de l’Assemblée Générale de l’association, qu’il quitte ses fonctions, après sept ans passés à la tête du club. Henry Balaine estime qu’un septennat est « largement » suffisant. « La routine peut prendre le dessus. Ce qui deviendrait dommageable pour la pérennité de l’ECTL », a-t-il expliqué. Le futur ex-président s’en va en laissant une structure plutôt en bonne forme. Le club compte actuellement 180 licenciés, ce qui le place à la 16^ème des ententes cyclotouristes en France en nombre d’adhérents (3106 clubs sont répertoriés au niveau national). De plus, l’ECTL, qui a fêté ses 40 ans d’existence cet été, organise tous les ans des redez-vous devenus incontournables dans le Penthièvre, que les passionnés inscrivent à leur agenda. Le successeur d’Henry Balaine devrait être connu en fin de semaine. Novembre 2008
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TOUR DE FRANCE A VELO
L E S I N F O S	Dernière minute Mardi 24 juin 2008 Francis Beurier, 74 ans, est membre de l'Entente cyclotouriste lamballaise. Lamballe : un septuagénaire fait le tour de France à vélo L’oeil est rieur et la voix détendue. Francis Beurier est en forme même après avoir parcouru 5 100 km à vélo en 29 jours pour faire le tour de France « Ou plutôt le tour de la France », tient à préciser Henry Balaine, le président de l’Entente cyclotouriste Lamballaise (ECTL). « Car le Tour de France, celui de la Grande boucle, c’est seulement 3000km.» À 74 ans, Francis Beurier, ancien agriculteur vivant à Andel, a relevé le défi, qu’il s’était imposé, haut la main. « Rêve de jeunesse ou folie de vieillesse, j’ai toujours rêvé du Tour de France Il y a un an, j’ai voulu m’inscrire au Tour de France cyclotouriste. Mais c’était déjà complet. J’étais le 40° sur la liste d’attente !», confie Francis, accoudé à son vélo. Sa décision est donc vite prise. « En novembre 2007, j’ai annoncé mon choix aux membres du club pour savoir si quelqu’un voulait m’accompagner. » Un camarade est partant. C’est alors le début des préparatifs. « J’ai le vélo dans la peau. C’est un virus », plaisante celui qui a été un des premiers adhérents de l’ECTL, fondée 1968. Depuis son compteur kilométrique a largement explosé : plus de 300 000km effectués en pédalant! Jusqu’au jour du départ, mardi 20 mai. Mais le compagnon de route, blessé lors d’une sortie du club, déclare forfait. C’est Georges, un autre fan de vélo de Saint-Malo, qui sera de la partie. 10h de vélo par joub Au petit matin, à l’aube, les deux cyclos, 7 à 8 kg de bagages chacun, s’élancent silencieusement de la cité Cancalaise : Munis d’un carnet, Francis et Georges pointent dans 60 lieux de c/ntrôle différents (gare, gendarmerie, bistrot etc.), répartis dans tout le pays. Ils doivent aussi envoyer six cartes postales d’endroits bien précis. En selle, le temps passe vite, si vite, « Nous partions vers 6 h, pour rouler 200 km pendant 10 h. La journée la plus dure ? Celle où on a fait trois cols de montagne à suivre dans les Alpes !» Les pauses déjeuner sont des moments appréciés. « Tu verrais tout ce qu’on a enfilé. Trois fois plus que d’habitude ! », S’exclame Francis, 4 kg en moins, en regardant Henry Balaine. « Par sécurité, j’avais fixé au départ une durée de 60 jours pour réaliser cette balade. » Balade? ! «Oui, c’est bien ça », insiste le cyclo. «On n% savaid pas où on allait at4errir le soir. On dormait dans les hôtels ou chez les particuliebs. C’est arrivé deux fois. J’ai rencontré quelqu’un de mon âge qui avait aussi fait la guerre d’Algérie... » Et on refait le monde jusqu’au bout de la nuit. En 29 jours $e vélo, les petites habitudes se créent. «Tous les soirs, j’appelais Jeannine, ma femme. Elle était beaucoup plus inquiète que moi.» 29 coups de fils quotidiens, 29 journées racontées... et une roue cassée un dimanche matin, près de Verdun. «On a perdu une demi-journée.» Une anecdote de plus dans le grand tour de France de Francis, qui s’est achevé le 17juin, à 20h, à Cancale. Les yeux remplis de fierté. Et c’est mérité. Soizic QUERO
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TOUR DE BRETAGNE
L E S I N F O S	L’Entente lamballaise cyclotouriste fait un tour de Bretagne pour ses 40 ans. Une joyeuse équipe rassemblée dimanche pour une halte à l’auberge du Blavon, près de Bédée. 40 ans, ça se fête. Les Cyclotouristes de l’Entente Lamballaise ont choisi de le faire à leur manière : en effectuant le week-end dernier un tour de Bretagne en quatre étapes. Avec leur assistance technique, ils étaient ainsi 58 au rendez-vous de cette randonnée qui a fait grimper leurs compteurs de 710 km et, surtout, enrichi leurs magasins de souvenirs de quelques inestimables moments partages le long de la côte de Granit rose et le franchissement des Monts d’Arree, la traversée de la forêt de Lanvaux et l’approche du Mont Saint Michel et de la cote d’Emeraude. La pluie et le vent ont parfois ralenti leur progression, mais tout le monde est arrivé sans encombre au terme du périple concocte par Clément Daugan et Jean Maurice Basset. Prochains rendez-vous en août à la Semaine fédérale de Saumur et, en septembre, pour un week-end de réjouissances à Lamballe. 18 juillet 2008
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TROPEE AU PARIS BREST PARIS
L E S I N F O S	Les participants ont reçu des trophées. Une trentaine de participants au Paris-Brest-Paris. ****************************************************** «ECTL. Un brillant palmarès Paris-Brest-Paris» Des Lamballais se sont illustrés lors de l’épreuve Paris-Brest-Paris et le club a été distingué. Le vendredi soir, une fois par mois, les adhérents de l’Entente CycloToiriste Lamballaise se retrouvent à la maison du vélo pour prendre connaissance de diverses informations. L’accent est mis, notamment, sur les consignes de sécurité. Exceptionnellement, vendredi dernier, le Président Henri Balaine était fier de présenter à l’ensemblée des cyclos du club les trophées obtenus au cours de l’épreuve Paris-Brest-Paris. « Nous ne recevons pas cela tout de suite. Avant que cela nous arrive, il faut du temps. » Une épreuve difficile 5 157 participants ont franchi les 1 227 km de l’épreuve mythique par un temps qualifié d’exécrable. « Nous avons eu les pires conditions depuis que l’épreuve existe ». 44 nationalités étaient au coude à coude : des Européens, mais aussi des Américains, des canadiens, des Thaïlandais, des Japonais, etc. Les Français étaient 2 298. Le plus grand nombre de cyclos à l’arrivée Au palmarès, le club Lamballais tire son épingle du jeu. En effet, c’est le premier club au challenge ACP (Audax Club Parisien) pour avoir obtenu le plus grand nombre de points aux brevets qualificatifs. Avec 30 licenciés au départ, c’est le premier club qui a présenté le plus grand nombre de licenciés. C’est aussi le club qui compte le plus grand nombre de cyclos à l’arrivée. Pour la seconde fois, le club se voit attribuer un challenge qu’il faudra gagner une troisième fois pour le conserver définitivement. Les participants ont été félicités par leurs collègues : Jean Luc Briens, Hervé Colas, Didier Carfantan, Laurent Gesrel, Francis Gueguen, Pierre Anne Harnois, Jean Pierre Henry, René Higant, Loïc Heurtault, Yannick Heurtault, Pascal Lebreton, Thierry Lemoine, Jacques Lesné, Henri Michelet, Christian Nivet, Pascal Presse, Denis Rault, Noël Roullier, Joël Sablé et Joseph Toublanc. TELEGRAMME ***************************** « L’Entente cyclo se distingue au Paris-Brest-Paris» Vendredi soir au cours de leur réunion mensuelle, le président des cyclos, Henri Balaine, a présenté les trophées obtenus lors de la dernière épreuve Paris-Brest-Paris. C’est le club Lamballais qui a obtenu le plus grand nombre de points aux brevets qualificatifs du challenge ACP (Audax Club Parisien). L’ECTL, est le club qui a le plus grand nombre de licenciés participant à cette épreuve : une trentaine au départ. Pour la deuxième fois le club remporte un challenge qu’il faudra reconquérir une troisième fois, s’ils veulent le conserver définitivement. Les participants, applaudis chaleureusement, sont : Jean Luc Briens, Hervé Colas, Didier Carfantan, Laurent Gesrel, Francis Gueguen, Pierre Anne Harnois, Jean Pierre Henry, René Higant, Loïc Heurtault, Yannick Heurtault, Pascal Lebreton, Thierry Lemoine, Jacques Lesné, Henri Michelet, Christian Nivet, Pascal Presse, Denis Rault, Noël Roullier, Joël Sablé et Joseph Toublanc. Le Penthièvre 28 Jeudi 14 février 2008
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L’ECTL ET LE PARIS BREST PARIS
L E S I N F O S	« Noël Roullier, un roi de la petite reine » Arrivé avec les premiers au Paris-Brest-Paris, le passionné s’est déjà remis en selle ce week-end. Portrait d’un cyclotouriste confirmé. A peine dévalé les 1260 km du Paris-Brest-Paris, Noël Roullier remonte sur son vélo dans le pays Lamballais. Juste pour le plaisir. « J’ai mis 10 h de moins qu’à l’édition précédente. Je ne pensais pas atteindre ce résultat », reconnaît en toute modestie Noël Roullier. Parti avec ses copains de l’Entente Cyclotouriste Lamballaise, cet accro du vélo s’accroche tout de suite au peloton de tête de la course Paris-Brest-Paris, laissant derrière lui plus de 5000 participants accrochés à leur guidon pendant 1260 km. « Le plus dur, ce n’était pas de garder l’allure de 30 km/h, mais de ne jamais s’arrêter, sauf pour pointer au contrôle. Le mauvais temps, j’en ai moins souffert que ceux qui ont mis 90 heures », estime, arrivé avec le groupe des 10 meilleurs en 44 h 50. Deux jours vissé à sa selle, mangeant en pédalant, serrant les dents sous la pluie et le vent. « J’avais peur qu’il tombe » « Moi, j’avais peur qu’il tombe. Quand je voyais la météo et que je suivais les étapes en direct sur Internet, je me faisais du souci », ne peut pas s’empêcher d’avouer sa femme. On se demande à quoi carbure le cyclotouriste de 50 ans pour obtenir ce résultat exceptionnel dans des conditions aussi déplorables. « Au sandwich jambon beurre, au chocolat et au soutien de ma famille ! » plaisante l’intéressé qui n’a même pas pris le temps de faire la grasse matinée pour remonter dès ce week-end sur sa fidèle monture. « Notre club est habitué des grandes distances. On s’entraîne beaucoup, on profite des conseils de ceux qui ont souvent fait ce parcours », justifie « l’amateur » qui affiche quelque 13000 km au compteur depuis le début de l’année ! A l’entente cyclotouriste, on n’est pas peu fier des performances des Lamballais. « Sur les 30 engagés de notre club, Noël a battu tous les records et 20 sont arrivés à Paris. Je pense que l’on est dans les meilleurs résultats français et pourtant, on fait ça juste pour le plaisir ! », calcule avec bonheur Henri Balaine, le président de l’association. Hier, tous se sont retrouvés pour la sortie dominicale habituelle. Une ombre gâchait ces amicales retrouvailles sous le soleil. « On pense tous à Marylène qui s’est fait renverser par un scooter pendant la course. Elle devrait sortir de l’hôpital aujourd’hui, à la suite d’une double fracture du coude. C’est vraiment un accident bête et rageant », déplore Henri Balaine. Alors attention aux petits pelotons que l’on croise régulièrement dans le Pays de Lamballe. Respectez les champions ! 27 août 2007
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L’ECTL ET LE PARIS BREST PARIS n° 2
L E S I N F O S	Les cyclos lamballais sur le Paris Brest Paris Un groupe de 30 cyclotouristes lamballais prendra le départ du mythique Paris Brest Paris aujourd’hui et demain. Un défi de plus de 1200 km. Les 30 cyclotouristes lamballais qui participent, cette semaine, au Paris Brest Paris. Un peloton de 30 cyclotouristes lamballais prendra le départ du célèbre Paris Brest Paris (PBP), aujourd’hui et demain, de Saint-Quentin-en-Yveline. Une épreuve mythique, vieille de 80 ans et longue de 1260 km, à laquelle participent plus de 4000 coureurs du monde entier, et qui n’est pourtant pas de taille à effrayer les coureurs de l’Entente Cyclotouriste Lamballaise. Gonflés à bloc, les cyclotouristes lamballais sont également très bien préparés. Depuis le mois de janvier, tous ont parcouru entre 5000 et 6000 km :  « Pour être prêt, il faut une véritable montée en puissance, qui se met en place avec les différents brevets de 200, 300, 400, 600 km, que nous passons durant l’année. A cela, viennent s’ajouter toutes les grandes classiques de la région comme la Pierre Le Bigaut ou la Jean François Rault ». Le PBP n’est pas une course, mais bien une cyclosportive, Le but est donc de terminer l’épreuve. Cela dit, certains ne mettent pas longtemps à trouver la dimension compétition de l’épreuve. « Le record est de quarante trois heures, ce qui fait une moyenne de plus de 30 km/h sur les 1260 km », explique Francis, 55 ans, qui en est à son 7^ème PBP. « Un défi personnel, mais aussi une fête ». Mais pour la majeure partie des concurrents, l’objectif est ailleurs : « C’est un vrai défi personnel. Personnellement, je trouve que c’est assez enivrant d’arriver à connaître ses limites. Cela se joue sur le plan physique bien sûr, mais aussi de façon très importante sur le mental. Et puis cette épreuve est surtout une formidable fête internationale du vélo », résume Didier, 51 ans, ancien coureur à pied et qui s’est lancé sur le guidon il y a à peine deux ans. Une formidable fête ouverte à tous, comme témoigne le peloton de nos 30 Lamballais, composé notamment de trois femmes, Marylène, Marina et Marie-France ou encore Jacques, le petit jeune de 41 ans et Francis, l’aîné de « 73 ans et demi ». Marina, 56 ans, en est à son cinquième PBP : « Personnellement, je n’aime que les longues distances. Je viens à peine de terminer une diagonale Dunkerque Perpignan… Les longues épreuves ont quelque chose de très stimulant, on va au bout de soi-même… » Marylène, 52 ans, prendra de son côté, le départ de son premier Paris Brest Paris. Confiante, elle n’occulte pas pour autant la difficulté de l’épreuve : « Il y aura des moments de galère, c’est sûr, mais on ne retient que le meilleur… Et puis, depuis janvier, on s’est quand même bien préparé. » Pendant la semaine, sur le parcours, tous les cyclistes auront une pensée pour Jean Claude, qui devait lui aussi participer au PBP, décédé il y a deux mois, renversé par une voiture au cours d’un entraînement. En fonction des temps de parcours choisis, de cinquante à quatre-vingt-dix heures, les départs de Saint-Quentin seront étalés entre ce soir, 20h et mardi matin, 5h. Dans le peloton lamballais, on espère être de retour à Paris jeudi soir, dans la nuit au plus tard. Goulven CONNAN 20 août 2007
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L’ECTL ET LE PARIS BREST PARIS n° 1
L E S I N F O S	« UNE MOTIVATION COLLECTIVE » Pour l’Entente CycloTouriste Lamballaise, il s’agit de motivations collectives trouvant leur source dans un club où l’émulation et l’expérience des plus anciens ou expérimentés jouent un grand rôle. Faire découvrir à d’autres licenciés une ambiance particulière et les aider à relever un défi personnel. Leur faire prendre confiance en leurs réelles possibilités et les accompagner dans leur préparation. Aider à gérer la fatigue, la fringale, les humeurs, les problèmes techniques, rassurer et partager de bons moments avant, pendant et après. Dégager l’objectif principal qui est d’arriver dans les délais en dehors de toute préoccupation de performance. Conserver un trophée que le club a pu gagner lors de la dernière édition. D. RAULT – J.M. BASSET CYCLOTOURISME 556 - MARS 2007.
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ASSEMBLEE GENERALE 2009
L E S I N F O S	« L’ECTL, 1^er club cyclo du département » L’Entente cyclotouriste Lamballaise compte 184 licenciés dont 28 féminines. Le plus fort effectif en Côtes d’Armor. Lors de l’assemblée générale de l’ECTL, un chèque de 600€ a été remis à la présidente d’Athéol, Pierrette Brazier.. Les activités de l’ECTL sont orientées vers les grandes randonnées : cinq Diagonales, le tour de la Manche, les flèches de l’Ouest « Saint Malo – Rennes, Rennes – Caen », la Semaine Européenne du cyclotourisme à la Ferté-Saint-Aubin dans le loiret et la Semaine Fédérale à Saint-Omer dans le Pas-de-Calais. « Cette année a également été marquée par un voyage en Italie suivant une formule : cyclisme le matin, excursions et visites l’après-midi, plus une journée complète à Florence et à Venise, rappelle la présidente, Danielle Le Breton. Nous avons eu une bonne participation avec 59 personnes. » La solidarité est de mise dans cette association puisque grâce à l’organisation de la randonnée VTT et marche, un chèque de 600 € a été remis à ATHEOL. « Un projet est en cours d’élaboration pour l’année 2010, un Mer Montagne, soit 1000 km en 6 jours, conclut la présidente, l’objectif sera de relier Dahouet au Mont-Blanc. » novembre 2009
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Barre a qui 2009
L E S I N F O S	« Les cyclos ont recherché le bon tempo » Les membres de l’ECTL ont roulé par deux dimanche. Le challenge : coller au plus près du temps affiché. De gauche à droite :Josiane et Michel Rault et Christine et Yves Clément, les organisateurs de cette « Barre à qui ». Le rendez-vous est réglé comme du papier à musique, à l’Entente cyclotouriste Lamballaise, le club que préside Danielle Le Breton. Chaque dernier dimanche de décembre, ses adhérents disputent la « Barre à qui ». L’épreuve se dispute par équipes de deux. L’équipe qui gagne est celle qui à l’arrivée colle au plus près du temps qu’elle a affiché au départ. Dimanche, ce sont Joseph Toublanc et Pierre Etienne qui l’ont emporté. Ils ont roulé à une moyenne de prés de 21,40 km-h (temps de pause « vin chaud » inclus, chez Eugène Lenoir, à Penguily). Comme l’ensemble des participants ils ont apprécié le circuit de 46 km, tracé et préparé par Yves et Christine Clément et Michel et Josiane Rault, les vainqueurs de l’an passé et leurs épouses. Cette belle balade les a conduits dans la vallée du Gouessant du côté de Saint Trimoël, sur des petites routes sans voitures… Avec un braquet recommandé de 26 x32 à Saint Glen, pour pouvoir mieux apprécier la maison natale d’Yves Clément. L’origine de cette « Barre à qui » - appellation non contrôlée – remonte aux années 1950. Jusqu’à la fin des années 1960, en Italie, le Trophée Barrachi était un contre la montre très prisé, que les coureurs professionnels de renom disputaient par équipes de deux (Coppi et Bobet, Anquetil et Altig, Anquetil et Darrigade, etc.) A l’époque, les clubs de cyclos aimaient bien organiser des randonnées chronométrées (sans montre et en évitant les clochers à horloge !). L’un d’eux a alors eu l’idée de pasticher le nom de Barrachi : c’est devenu la « Barre à qui ». décembre 2009
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PARIS - BREST – PARIS - 2011
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Trophée du Paris-Brest-Paris 2012
L E S I N F O S	« Les cyclistes fêtent leur trophée du Paris-Brest. » Avant que ne soit fêtée la remise définitive du trophée du Paris-Brest, la police municipale et la gendarmerie de Lamballe ont sensibilisé les cyclistes à la sécurité de circulation en groupe et en ville. La réunion mensuelle des licenciés de l’entente cyclotouriste Lamballaise (ECTL) avait vendredi soir une saveur particulière. En effet, les responsables de l’association ont confirmé la présence définitive dans la vitrine déjà bien garnie de l’ECTL du trophée du meilleur club français sur l’épreuve prestigieuse du Paris-Brest-Paris. Cci pour avoir pour la 3ème fois consécutive et après les éditions 2003 et 2007, réussi la performance d’aligner le plus de licenciés d’un même club à l’arrivée ! L’organisateur de cette course, l’Audax-club Parisien, a remis officiellement ce trophée à l’ECTL le 14 janvier dernier, à Paris. Avant de fêter ce challenge, les cyclotouristes ont évoqué la sécurité de circulation en groupe ou en ville, les préparatifs du brevet des 50 km le 19 février et leur participation aux différentes Flèches bretonnes. Février 2012
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